Jeudi 7 septembre 2006 à 13:36
( Vacance Marseille - Hollande 2006 )
Souvenirs - Souvenirs
Rah! Parce que je l'avais dit. Parce que je vous l'avez promis.
Plein de couleurs.
D'images de mon petit séjours.
( un petit résumé )
Marseille.
Rotterdam.
Amsterdam.
Lundi 21 août :
Train direction Marseille. Depuis le temps que je désirai y retourner. Comme ça, c'est fait. Aussi jolie qu'on peut l'imaginer. On sait promener sous un soleil d'or. Sauf qu'une journée, c'est quand même beaucoup trop cours.
Mardi 22 août:
On s'lève 7 heures. Direction garde marseillaise. Puis Direction Pau. Restaurant. Direction navette aéroport. Direction Pau. Direction Aéroport. Direction Rotterdam. Direction navette Central Station. Direction Auberge de Jeunesse. Et à part ... attendre on aura fait quoi?
Pour finir, visite de Rotterdam by night oblige et ... vouah! C'est beau, c'est grand et si calme à la fois. Impression. On s'arrête boire un verre pour apprécier l'instant.
Retour à l'auberge.
Et zouh dodo!
Mercredi 30 aout:
Petit déjeuner à l'auberge de jeunesse. Beurres de cacaouettes et café. On s'arrete prendre un plan de cofee et de la ville. Puis on part à l'aventure. Nos pas nous arrete vers quelques cofee. On achete " un peu". Puis, on va fumer notre premier "joint" en Hollande, dans notre premier cofee vers 11 heures. Le tout accompagné d'un café au lait.
Les fous rires arrivent vite. J'aime la Hollande.
On ne cesse de se ballader toute la journée. On s'arrete manger au KFC. Et on continue notre promenade. Le soir, nous allons dans un cofee qui se nomme le Bob Marley avec un gérant fort sympathique qui nous offre à boire/ Que demande de plus?!
J'aime Rotterdam.
Jeudi 24 août:
Nous partons visiter le plus important port du monde. Direction métro.
On paye pas. On comprend pas le dutch, ce n'est pas notre faute. * sourire d'ange*
On marche. On regarde. Ce n'est pas moche. On travers the famous brigde. Et là, au milieu de ce grand pont, de ces bateaux et de ces immenses bâtiments, je me sens bien minuscule. Je fume, je plane, je vole. Je guète. Je suis heureuse à ce moment là. Oui, c'est ça, je suis bien. J'aimerai arrêter l'instant. On se promène toute la journée. Et le soir, on repart pour le Bob Marley.
Je sais que c'est le dernier soir que je fume ici. Avec ce gérant. Et ses gentils mots qu'il me glisse à l'oreille. Alors, je regarde tout. Les deux hommes dans le fond qui jouent au échec. Cette fameuse femme toute seule, elle était là hier soir également. Elle fume. Elle ne s'arrête pas. Je la regarde effriter sa beuh, comme si de rien n'était, comme ça, juste par habitude. De toute façon, il était tous là hier soir aussi. J'admire cette ambiance familiale. Je regarde ces autres hommes jouer aux échecs. Et je sourie.
Je me demande ce que serait ma vie, si j'étais née la bas. Si je fumerai ou si au contraire je serais contre. J'en ai aucune idée. Je regarde et je me dis que je serais bien passé à coté de quelques choses. Je parle pas de drogues. Mais de Vie.
Vendredi 25 aout: Direction Amsterdam et sa pluie
monumentale. Rendez-vous à midi avec Jésus. Oups! Sorry boy, je vais
être un peu en retard : " je crois".
Amsterdam ou la venise du nord. J'aime beaucoup Amsterdam et son
ambivalence entre un coté ce coté naturel, si beau, si pur et de
l'autre l'image de la débauche humaine: les sexs-shops, les cabines,
les drogues douces et moins douces, l'alcool, la nourriture... . Tout
est réunis: l'homme se délaisse et se laisse complètement aller.
C'est choquant. Cependant, c'est à voir. Y vivre, non, c'est hors de questions.
Seulement le temps d'une semaine, j'aime bien me balader et me reposer.
J'aime bien voir ces gens corrompus par la facilité. Je me sens bien
pure, bien en harmonie encore avec la nature quand je vois toute cette
destruction face à moi.
Puis, à quelques pas de cette endroit de vices. On trouve Amsterdam, et
tout son charme. Ces musées inoubliables. Van gogh. L'age d'or avec
Rembrandt et la laitière. La célèbre et tragique maison d'Anne Franck.
Cette jeune juive devenue célèbre grâce à son journal qu'elle a su
entretenir durant la guère. Il a tout ça. Ces petits ruelles. Ces
jolies ponts.
Un petit coin de paradis à coté de l'enfer. Un endroit ou il fait bon vivre et bon de rêver.
On a passé une bonne partie de la
journée à chercher un hôtel. Puis on a vu, on a visité. On a vu ses
femmes: véritable poupées de chair. On a vu le désespoir dans leurs
yeux. On a rien dit, mais on s'est comprise.
Samedi 25 aout:
Après une nuit bien confordable. On s'lève, prend nos bagages direction le centre. On trouve une auberge plus vers la gare.
On pose nos affaires et fesons la connaissance de deux parisiennes.
Ho! ho! ho! Elles parlents français.
Vouah!
The Space Cake. Je l'ai voulu, et je l'ai eu. Mouhahaha!
Je note " A ne pas reessayer, surtout PAS".
Hallucination. J'arrive plus à marché, plus a attendre. Je vois. Je crois tout comprendre, tout depuis mon enfance. Pourquoi je fais ci, pourquoi j'ai réalisé cela. Mais en fait, je comprend rien. Je suis défoncée.
Nos deux colocotaires d'une nuit, ayant pris des champignons ne sont pas dans un bel état non plus.
On se regarde. On comprend rien.
Dimanches 26 aout:
Réaction à chaud: " t'avais de tout petit yeux! raaaaah".
Je comprenais plus rien. J'ai eu peur mondidiou! Plus jamais! Plus jamais!
Nos colocotaires se retirent déjà du jeu.
Elles ont eu peur et ne souhaitent "jamais recommencer".
Elles ont pensé devenir folle et ne jamais reprendre possession de leurs esprits.
Aurevoir les demoiselles.
Écriture de lettres enfumées. Un colis s'en va pour notre ville rose.
Restaurant tibétains " original".
Lundi 26 août:
Cadeaux à gogo. Blocage de carte.
Ça sent la fin.
L'heure est proche.
Une semaine, c'est vraiment, vraiment trop court.
Mardi 26 août:
The departure. Le métro. Des rats on mangeaient nos gateaux. Je les deteste. Bédos sur bédos, il faut finir. On se doit de finir. Alors, vite, vite, vite. Je m'envole. J'ai la tête qui tourne et je ne veux pas rentrer. Direction allé, mais dans l'autre sens. Direction central station. Direction train. Direction Aeroport Amsterdam. Direction aéroport Pau. Direction navette gare de Pau.Petit et brève escale à Pau. Direction Toulouse. Direction mon chez moi. Mes Chiens. Mon lit. Et tout le tralala.
J'arrive chez moi. J'ai recu du courier. Je commence à le lire. Des mots auxquel je ne m'entendais pas. Une larme tombe. Je me jete sur mon téléphone pour l'apeler " merci". Mon arrivée commence bien (...).
Ainsi, comme vous pouvez le voir.
Un séjour innoubliable.
Un moment de vie magique.
Jamais j'oublierai.
Ce voyage, il est arrivé au bon endroit, au bon moment J'en avais besoin. Cela m'a permis de sortir la tête de l'eau un peu. D'arreter de meutre le temps d'une semaine. De tout mettre entre parenthèse. De faire le point, enfin je croyais.
On repart quand?