- mercredi 9 août -
...:: 10 heures 23 ::...
Cendrillon, elle a perdu son prince charmant.
Elle attend.
Elle (l')attend.
La vie continue. Le temps lui aussi poursuit sa route. Aout est a déjà commencé sans que je m'en rende vraiment compte. C'est bizarre, comme le coeur et les sentiments sont étranges. C'est étrangement, comme je n'arrive pas à me comprendre. Effrayant dirais-je. Il y a bien des moments où je me dis que ce n'est rien, que c'est la vie ni plus ni moins. Les expériences ne sont pas faites pour durer, si l'on peut appeler ça comme cela. Voilà, celle-ci qui se termine. Je suis jeune, j'ai le temps, je le trouverai: un jour mon prince charmant. Oui, mais quand. A trop rester dans le flou, on se perd. J'ai comme un besoin de savoir, de me rassurer. Et d'autres, où cela ne va pas, où je suis seule à me poser mile et une questions, à chercher le problème et la solution. A savoir ce que j'ai fait, comment le réparer. Pourquoi je suis comme ça? Pourquoi je m'aperçois toujours de mon attachement lorsque il ne reste que des débris? Je tourne. Je tourne en m'en rendre malade. J'ai peur que toutes mes relations se résument comme celle-ci. Pour le moment: faut le dire, je pourrais écrire un livre sur les déboires amoureux. Par contre, pour le conte de fée, cela ne comblerait difficilement plus d'une page.
Je finis par me dire qu'il faut mieux que je ne tente rien vu que cela fini toujours mal. Le début c'est bien. C'est marant. On rigole. J'atend des jolies mots. Des jolies phrases. Je n'y crois pas, je reste muette. Mais dans le fond, ça me fait plaisir. Je fais rien pour, mais cela se passe plutôt bien. Puis peu à peu, ça commence à dériver. Et c'est là que je comprend que ce n'etait pas rien en fait. Je comprend, mais je ne bouge pas pour autant. Bref Et si je veux préserver une amitié cela devient nécessaire. Bien sur, on se dit toujours "on reste ami", mais au final, ce ne sera plus jamais pareil et on le sait bien. Et comme, je l'ai si souvent dit: il faut s'aimer soit-même avant d'accepter qu'une autre personne nous aime et nous désire. Et aussi pour pouvoir rendre son amour. C'est peut-être là que se trouve la clef du véritable problème en fait.
Bref!
La vie continue.
Rendez-vous à la banque à la demi.
J'y vais, cela m'évitera de réfléchir.
...:: 10 heures 23 ::...
Cendrillon, elle a perdu son prince charmant.
Elle attend.
Elle (l')attend.
La vie continue. Le temps lui aussi poursuit sa route. Aout est a déjà commencé sans que je m'en rende vraiment compte. C'est bizarre, comme le coeur et les sentiments sont étranges. C'est étrangement, comme je n'arrive pas à me comprendre. Effrayant dirais-je. Il y a bien des moments où je me dis que ce n'est rien, que c'est la vie ni plus ni moins. Les expériences ne sont pas faites pour durer, si l'on peut appeler ça comme cela. Voilà, celle-ci qui se termine. Je suis jeune, j'ai le temps, je le trouverai: un jour mon prince charmant. Oui, mais quand. A trop rester dans le flou, on se perd. J'ai comme un besoin de savoir, de me rassurer. Et d'autres, où cela ne va pas, où je suis seule à me poser mile et une questions, à chercher le problème et la solution. A savoir ce que j'ai fait, comment le réparer. Pourquoi je suis comme ça? Pourquoi je m'aperçois toujours de mon attachement lorsque il ne reste que des débris? Je tourne. Je tourne en m'en rendre malade. J'ai peur que toutes mes relations se résument comme celle-ci. Pour le moment: faut le dire, je pourrais écrire un livre sur les déboires amoureux. Par contre, pour le conte de fée, cela ne comblerait difficilement plus d'une page.
Je finis par me dire qu'il faut mieux que je ne tente rien vu que cela fini toujours mal. Le début c'est bien. C'est marant. On rigole. J'atend des jolies mots. Des jolies phrases. Je n'y crois pas, je reste muette. Mais dans le fond, ça me fait plaisir. Je fais rien pour, mais cela se passe plutôt bien. Puis peu à peu, ça commence à dériver. Et c'est là que je comprend que ce n'etait pas rien en fait. Je comprend, mais je ne bouge pas pour autant. Bref Et si je veux préserver une amitié cela devient nécessaire. Bien sur, on se dit toujours "on reste ami", mais au final, ce ne sera plus jamais pareil et on le sait bien. Et comme, je l'ai si souvent dit: il faut s'aimer soit-même avant d'accepter qu'une autre personne nous aime et nous désire. Et aussi pour pouvoir rendre son amour. C'est peut-être là que se trouve la clef du véritable problème en fait.
Bref!
La vie continue.
Rendez-vous à la banque à la demi.
J'y vais, cela m'évitera de réfléchir.
Oui s'aimer soit même c'est vrai, c'est la clef encore une fois...
Mais...
Comment qu'on fait ?
:(